Foire aux questions

La nutrition biologique des cultures pourrait être définie comme une façon d’alimenter les plantes et les végétaux, différente des procédés standards suivis depuis le début du siècle dernier avec les fertilisants chimiques, dont l’usage extensif et intensif endommage les sols et les écosystèmes, et dont les prix ont récemment explosé, ce qui rend leur utilisation prohibitive pour les agriculteurs.
Les biofertilisants développés par INAGROSA, depuis fin 1985 et jusqu’à au début des années 90, appartiennent à un nouveau type de fertilisants biologiques-organiques, caractérisés par :
a) Leur matière active : acides aminés L libres et oligopeptides biologiquement actifs ;
b) Leur respect de l’environnement ;
c) Leur renforcement de la fertilité du sol (agriculture durable) ;
d) Leur faible dosage en litres ou en kilogrammes par hectare ;
e) Leur haute effectivité en raison de leur faible coût par hectare et de leur haut rendement dû à l’augmentation des productivités qu’apporte leur application.
Toutes les caractéristiques précédentes sont bien opposées aux caractéristiques des fertilisants chimiques.
Le rapport Coût/Bénéfice des biofertilisants est beaucoup plus rentable pour les agriculteurs que la fertilisation chimique. De plus ceux de la ligne BIO (Biofertilisants) préservent l’environnement contre les effets nocifs produits par l’application constante dans les sols, année après année, des fertilisants chimiques.

Le processus et le know-how utilisés pour fabriquer ces biofertilisants ont été développés par le Service de R+D d’INAGROSA (LBE Corp.) au cours des années 1980 et au début des années 90. L’objectif du processus était d’obtenir des acides aminés L libres et des oligopeptides 100% purs et biologiquement actifs, en suivant le processus de la biosynthèse par voie cellulaire exécutée par différents organules des cellules assignés dans leurs membranes. Leur objectif était, et est encore, de les utiliser comme matière active pour des usages pharmaceutiques.
Pour atteindre cet objectif, qui leur a pris plus de dix ans, les chercheurs d’INAGROSA ont dû s’appuyer sur les avancées des outils biotechnologiques disponibles à cette époque-là : techniques d’état solide chimique et chromatographiques entre d’autres, ainsi que la façon de contrôler une séquence complexe de synthèse et de processus d’hydrolyse, dans le but de fournir un suivi dans le laboratoire, dans un cadre de réplication sous des contrôles stricts et avec exactitude de copie tel que cela se produit dans la membrane cellulaire, c’est-à-dire, l’un des processus de fabrication les plus complexes de la Nature.
Plus tard, depuis le milieu des années 90 et la première décennie de ce siècle, les nouvelles avancées en biotechnologie et rapide développement de la technologie de computation (hardware et software), ont permis d’améliorer le processus résumé antérieurement et le know-how d’INAGROSA.
Les acides aminés L et oligopeptides, obtenus à travers ce processus sont utilisés en médecine comme matière active, sous le code générique FTE (Facteurs de Transcription Extracellulaire), et notamment dans les maladies dégénératives du système nerveux central, chez les animaux et chez les humains, comme aliment nutritionnel complémentaire, en cosmétique, en processus de fermentation, en microbiologie, comme bio-activateurs dans les milieux de culture et dans de nombreuses autres applications ou processus dérivés, tous avec la marque de non toxique et respectueux de l’environnement.
INAGROSA a débuté l’application de ces nutriments dans l’agriculture à la fin des années 80, en destinant tous les bénéfices obtenus au financement de la recherche médicale et pharmaceutique.
Pour son application dans l’agriculture, INAGROSA a développé une technologie complémentaire :
La liaison des ions de N, P, K et des microéléments (macro et micro nutriments végétaux) avec la chaîne des acides aminés et des oligopeptides, sur la base du fait que les acides aminés sont d’excellents porteurs et que les acides aminés obtenus dans le processus d’INAGROSA arrivent de façon facile et rapide jusqu’aux cellules, en traversant les membranes cellulaires et la membrane nucléaire. Cette technologie a permis d’apporter les nutriments requis par les plantes avec un procédé d’origine naturelle et avec plus d’effectivité que le processus standard de fertilisation chimique.
Dans le processus d’INAGROSA pour l’obtention d’acides aminés L, on n’utilise absolument aucun micro-organisme et la matière première utilisée est conformée par les éléments chimiques qui composent la formule des acides aminés : C, N, O, H, S ... extraits de composés organiques purifiés tel qu’ils sont utilisés par les cellules dans leur processus de biosynthèse.
La composition pour les applications agricoles se fait essentiellement avec des acides aminés L et des oligopeptides dans un profil adapté de l’aminogramme pour les différentes cultures, en unissant à leurs chaînes, dans un pourcentage variable, des éléments N, P, K et des microéléments, conformément aux besoins nutritionnels du développement requis dans les différents états phénologiques des plantes : germination des graines, germination, développement de racines, croissance, floraison, maturation et pour surmonter des situations spécifiques de stress.

Le mécanisme d’action de ces produits nutritionnels des plantes, tout comme le reste des produits fabriqués par INAGROSA et par ses sociétés associées, avec la même matière active pour les usages pharmaceutiques, l’application à la nutrition chez les humains et les animaux, etc., se base essentiellement sur le "processus de communication cellule à cellule", tel qu’il a été découvert et décrit par trois groupes de lauréats des Prix Nobel dans les années 90 (E.Fischer, phosphorylation-régulation biologique ; Alfred Gilman : découvreur de la protéine G ; Martin Rodbell : découvreur du processus biologique dans les cellules d’une façon similaire à celle de la technologie informatique de "récepteur – transducteur - amplificateur " ; Günter Blobel et d’autres).
Dans le processus de copie de la biosynthèse voie cellulaire d’INAGROSA, on obtient plusieurs oligopeptides avec exactement les mêmes caractéristiques que ceux qui sont synthétisés par les cellules, lesquelles jouent un rôle fondamental comme "Facteur de Transcription de l’information contenue dans l’ADN à l’ARN”. Ces caractéristiques sont les suivantes : poids moléculaire inférieur à 1 KD ; formule structurelle en forme d’hélice-alpha, acides aminés à charge négative alignés du côté extérieur de l’hélice, le nombre d’acides aminés est de trois, et toujours avec la même séquence.
Ce fait permet à la matière active d’INAGROSA (codifiée comme FACE pour les usages pharmaceutiques, NOMAR 148 et NOMAR 200 pour l’agriculture, ALEC pour la cosmétique, etc.) de détecter les signaux des cellules provenant de la machinerie cellulaire, notamment dans le noyau (ADN, ARN ), c’est-à-dire, à partir du génome, et pour agir conformément au contenu du signal : en prévenant du bas niveau de macro (N, P, K, Ca) dans la nutrition des plantes ou de micronutriments (Fe, Mg, Mn, etc.) requis dans cette étape phénologique, signaux de stress lorsque la plante subit l’effet croissant d’inhibition produit par la large gamme de facteurs de stress biotiques (parasites), ou abiotiques (sécheresse, phytotoxicité, gel, le sol ou la contamination de l’eau sous-terraine, etc.). Dans ce but, c’est-à-dire, pour surmonter le stress et réduire le mélange avec des pesticides en vue de diminuer le préjudice porté à l’environnement, INAGROSA a développé le biostimulateur AMINOL-FORTE, lancé sur le marché en 1986.
La connaissance des processus de communication entre les cellules a été complété, dans les premières années de ce siècle par les chercheurs, avec les nouvelles découvertes de la fonction associée à la protéine G : GPCR (Protéine G - Récepteurs couplés à la protéine G) sont des protéines de la membrane cellulaire qui transmettent le signal extracellulaire en rattachant un signal intracellulaire à l’activation de la protéine qui, à son tour, active différentes voies cellulaires clés.
Les GPCR représentent la famille la plus grande, notamment dans le génome humain et jouent un rôle vital dans la majorité des processus biochimiques et physiologiques et depuis la communication cellule à cellule. C’est aujourd’hui l’objectif le plus important dans la découverte de substances actives (cardiovasculaires, cancer, troubles métaboliques, etc.).
L’influence et les effets du processus des GPCR ont également été testés en laboratoire et étudiés avec la matière active FACE et NOMAR, en ce qui concerne la préparation de nouvelles applications pour la médecine et l’agriculture.

En raison de leurs composants :
a) la matière active, tel qu’il est expliqué en A.2 et A.3, est obtenue de façon naturelle, c’est-à-dire, comme dans la Nature.
b) le reste des composants N.P.K ou microéléments, lorsqu’ils sont incorporés à la préparation, après une stricte épuration conformément aux normes de Bonnes Pratiques de Fabrication (BPF, GMP).
La matière première dont sont issus ces composants est soumise à différents processus chimiques d’épuration et d’ionisation pour transférer les ions N.P.K avec les microéléments jusqu’à leur placement à l’endroit où on vérifie leur liaison avec les chaînes d’acides aminés, formant un polymère organique de façon naturelle qui coïncide avec les exigences naturelles des cellules et des tissus végétaux, sans endommager les sols et les aquifères, ni la microflore ni la microfaune.
Au cours des essais de toxicologie réalisés entre 1990 et 1993 au Royaume Uni, en France et en Espagne, la matière active a été classifiée comme "matière active sans toxicité avec un très faible niveau d’effets secondaires". La valeur de la dose létale, DL 50 (mort de 50% des animaux de l’essai) a permis de considérer cette matière active comme une matière non toxique, étant donné qu’aucune mort d’animaux ne s’est produite : rats, chiens beagle, lapins, etc. On a estimé que la dose maximale physiquement injectable dans le corps des rats Wilstar de 300 g, utilisés dans l’essai, était de DL50> 4000 mg/kg/jour. Pour d’autres animaux de l’essai : lapins, chiens Beagle, etc., on a continué à augmenter la dose injectée sans que se produise la mort d’aucun d’entre eux.
En ce qui concerne l’application dans l’agriculture, lors des essais expérimentaux effectués entre 1987 et 1989 par le Professeur Huffaker et son équipe de l’Université de Californie (Davis, États-Unis) lors du contrôle de la phytotoxicité spéciale et des essais de préjudices environnementaux, la dose standard d’AMINOL- FORTE 1 litre/ha a été augmentée jusqu’à des doses 1000 fois plus élevées, c’est-à-dire, l’équivalent de 1000 litres/ha sans produire de symptômes d’endommagements dans le blé, le seigle et d’autres végétaux, ni dans les micro-organismes du sol ni dans la microflore des eaux sous-terraines.
Tout au contraire, ces produits d’INAGROSA s’appliquent avec une fréquence élevée pour la restauration des préjudices à l’environnement et dans les écosystèmes endommagés par les pesticides, herbicides ou tout type de substances toxiques, y compris les résidus d’explosifs comme le TNT.
Voir comme référence le livre "Les mécanismes biochimiques de désintoxication dans les plantes supérieures” (Biochemical Mechanisms of desintoxification in Higher Plants). GKvesitadze, G. Khatisasvhili, T. Sadunish, JJ Ramsden, Springer-Verlag, Berlin- Heidelberg de 2006, pages 183/186, dans lequel les auteurs font une référence toute particulière à cet effet aux biofertilisants d’INAGROSA.

Tel qu’il est expliqué en A.2 et A.3, la matière active fonctionne selon le mécanisme d’action basé sur le "processus de communication entre les cellules", c’est-à-dire qu’elle agit conformément aux caractéristiques spécifiques de chaque étape phénologique des plantes, et apporte la réponse exacte aux besoins nutritionnels des plantes dans cette étape, ou la stimulation de la synthèse d’ARN et d’ARN-polymérase pour surmonter tout effet de stress (AMINOL-FORTE).
Les trois préparations restantes ont été élaborées à la fin des années 1980 par les spécialistes en physiologie végétale d’INAGROSA en collaboration avec des chercheurs de l’Université Polytechnique de Madrid sur la base existante et ce, de la façon suivante:
FOSNUTREN: acide aminé spécifique Profil-L + oligopeptides + phosphore en contenu plus élevé que le reste. Son application (pulvérisation) sert à l’amélioration du système radiculaire ou pour surmonter l’étape de stress de la transplantation, de la préfloraison et de la floraison.
KADOSTIM: Profil spécifique d’acide aminé L + oligopeptides + potassium en contenu plus élevé que le reste. Son application est orientée vers la croissance et la maturation du fruit. Augmentation du sucre, de l’huile, de l’amidon, du contenu des protéines, en surmontant les conditions adverses de stockage des fruits et la résistance au transport ou la protection post-récolte.
HUMIFORTE: Complexe de nutriments développé avec l’usage spécial d’une technologie propre et spécifique en vue d’obtenir une efficacité maximale avec les acides aminés libres biologiquement actifs obtenus tel qu’il a été expliqué, les oligopeptides à faible poids moléculaire immédiatement absorbés à travers les feuilles ou les racines. Il fournit également à la plante N, P, K, des acides humiques et fulviques avec des acides aminés libres biologiquement actifs, avec des résultats observés, dans certains cas spectaculaires. Leur matrice spécifique et complète des effets nutritionnels s’est orientée, depuis leur conception initiale, vers des cultures commerciales, sous serres, etc., avec une haute valeur sur le marché et cela est intéressant pour le cultivateur d’écourter ou de repousser le cycle végétatif afin de faire coïncider la récolte avec les périodes dans lesquelles on peut obtenir une meilleure cotation sur le marché en raison de la demande élevée et de la faible concurrence, c’est l’offre “hors campagne”.
Les récentes découvertes des RCPG (Récepteurs couplés aux protéines G) ont permis de comprendre pourquoi et comment la matière active de ces biofertilisants traverse de façon rapide les membranes cellulaires, et atteignent le génome dans le noyau de la cellule en moins de trois heures, lorsque les conditions de culture sont normales sans subir de stress intense, à compter du moment où le biofertilisant/biostimulant est pulvérisé sur les feuilles d’une culture.
Toutefois, lorsqu’une phytotoxicité forte affecte la culture, le temps d’action du biofertilisant/biostimulant est beaucoup plus rapide. (En 2013 et 2014, lors d’essais en Espagne et en Argentine avec des drones de dernière génération et grâce à l’analyse d’images hyperspectrales, on a observé que, dans des cas de stress important, le temps d’action est inférieur à 30 minutes).
En 1990, a été effectué un essai de laboratoire en INAGROSA, en utilisant une combinaison atypique d’herbicides capable de tuer la plante en moins de 24 heures. Dans cet essai expérimental, une dose réduite d’AMINOL-FORTE (0,25% ou l’équivalent à 0,25 litres/ha) a été pulvérisée sur la plante et cela a été suffisant pour détecter, dans un temps inférieur à une heure, le signal puissant produit par le génome de la culture endommagée qui a stimulé l’ARN polymérase pour synthétiser les protéines hormonales qui ont permis de sauver la plante d’une nécrose totale du tissu et de lui éviter une mort certaine.
Au début des années 90, on a découvert que la matière active d’AMINOL-FORTE pulvérisée sur les feuilles des cultures ne souffrant d’aucun type de stress intense, mettait six/sept heures avant que ses effets soient vérifiés dans les processus physiologiques et métaboliques des cultures. Cette expérience a été menée dans un Institut de Recherche sur le Métabolisme des Plantes, à Sarajevo, en ex-Yougoslavie, spécialisé dans l’utilisation, le marquage et le suivi de la synthèse de transaminases.




La dose standard se situe entre 0,5 et 1,25 litres/ha, lorsqu’on pulvérise sur les feuilles des plantes dans une culture qui ne subit pas d’effets importants de stress.
Dans le cas d’AMINOL-FORTE, lorsqu’on l’utilise pour surmonter un stress important ou pour sauver une plante affectée par une toxicité létale, la dose se réduit à 0,25 litres/ha, en l’appliquant de façon quotidienne pendant trois ou quatre jours. Lorsque la plante ne subit pas de stress, la fréquence est de deux ou trois applications tous les 15-20 jours.
Dans le cas d’HUMIFORTE, lorsque on l’applique sur le sol à travers un goutte-à-goutte ou tout autre système d’irrigation, la dose est de 2,5 à 3,0 L/Ha. L’intervalle entre les doses est de 20-25 jours.
Dans certains sols avec des taux de salinité très élevés, on réussit à éliminer les effets de cette salinité dans les plantes avec les protocoles : incorporation de NATURCARE au sol 2 kits/ha, plus FOSNUTREN à 2 L/ha et HUMIFORTE à 2 L/ha par pulvérisation, fréquence d’applications : tous les 15-20 jours.
Les doses faibles sont dues à ce qui a été expliqué en A.2. et A.3. : Le mécanisme d’action de la matière active agit d’une façon très efficace grâce à sa rapide et complète pénétration dans la cellule, atteignant le point névralgique de la machinerie cellulaire sur la base du processus de transduction de Rodbell. Une très petite quantité de cette matière active peut amplifier jusqu’à mille fois son effet dans le processus métabolique des cellules de la plante, notamment en termes d’économie d’énergie mesurée en unités d’ATP.

Tel qu'il est indiqué en la troisième réponse, les essais expérimentaux de toxicité spéciale qui ont été effectués entre 1987 et 1989 par le Professeur Huffaker et son équipe du Laboratoire de Croissance Végétale de l’Université de California, Davis, en pulvérisant AMINOL-FORTE à des doses 1.000 fois supérieures au standard de blé et d’orge, et en observant l’effet avec un microscope électronique dans une chambre d’azote à -150ºC , au niveau sous-moléculaire, n’ont pas montré d’endommagements dans le tissu des feuilles, des tiges ou des grains.
Lorsque la pulvérisation, pour des doses aussi élevées (1.000 fois plus élevées) d’AMINOL-FORTE s’est effectuée dans l’étape précoce de la plante (quatre feuilles), on a observé une forte concentration d’ATP dans la partie inférieure de la tige. La croissance de la plante a été bloquée mais on n’a pas observé de nécrose. La plante est restée verte dans la même situation pendant plus de six mois sans alimentation avec des fertilisants ni arrosage.

Lorsque la bouteille reste fermée hermétiquement et stockée à température ambiante entre 0ºC et 40ºC, et laissée à l’abri de la lumière du soleil directe, on a constaté que sa durabilité, sans perte d’efficacité, atteint un maximum de 6-7 ans.
Si la bouteille est stockée en permanence à une température supérieure à 30ºC et que la lumière du soleil se dirige directement à la bouteille, sa durabilité se verra réduite à 1-2 ans, en raison d’une plus grande vitesse dans la dégradation des acides aminés.
Si on ouvre la bouteille et qu’on n’applique pas le liquide de façon immédiate, la matière active perdra son activité en l’espace de quelques semaines, voire quelques jours, et il y a une forte probabilité qu’il se produise une contamination bactériologique du liquide.

NO, PAS DU TOUT.
Mesures de libération accidentelle ou de déversement du liquide: Il n’y a pas d’exigences particulières concernant la zone de ventilation de la fuite ou du déversement. Sans équipements de protection personnelle, il n’est pas nécessaire de neutraliser le liquide. Le produit est respectueux de l’environnement.
Manipulation et stockage: aucune mesure spéciale n’est requise pour la manipulation et le stockage. Il est recommandé de le conserver dans un endroit sec, frais et aéré, loin des sources de chaleur et à l’abri de la lumière directe du soleil pour éviter tout effet de dégradation de la substance. La congélation jusqu’à -20ºC n’affecte pas l’activité des substances.
Voir les Feuilles de Sécurité et MSDS des produits.

Après 25 ans d’application de ces biofertilisants par les agriculteurs dans plus de 35 pays et au regard des résultats obtenus lors des essais effectués à la fin des années 90, qui avaient pour but d’effectuer une comparaison, en termes d’efficacité nutritionnelle des plantes, entre les biofertilisants d’INAGROSA et les préparations standard des fertilisants chimiques, nous avons résumé les différents chiffres obtenus, en tenant compte de la grande diversité de conditions des sols, du climat, des pluies, etc., dans les données moyennes suivantes. Les chiffres que nous fournissons ci-dessous doivent être pris comme une moyenne indicative générale, car dans chaque cas, en fonction des conditions, ils peuvent varier considérablement par rapport aux chiffres qui ont été obtenus suite à des essais concrets.
La comparaison n’est faite qu’en termes de coût en dollars/hectare et d’efficacité nutritionnelle (poids de rendement de la récolte) dans les cultures dans lesquelles les traitements des essais ont été effectués :
T1 : seulement fertilisants chimiques (urée, DAP, nitrate de potassium, etc.), un composé par traitement.
T2 : seulement biofertilisants INAGROSA, un seul pour chaque traitement.
T3 : contrôle, sans fertilisation.
i) En termes d’efficacité nutritionnelle:
1 L/a de FOSNUTREN <> 210 Kg DAP/ha
1 L/a de KADOSTIM <> 225 kg de Nitrate de potassium/ha
1 L/a de HUMIFORTE <> 102 kg d’urée/ha
1 L/a de HUMIFORTE <> 140 kg de 12-12-24/ha
Efficacité physique :
a) Fertilisants chimiques, la littérature technique nous apprend que 30-35% seulement de la quantité déversée dans le sol atteint le système radiculaire et que, de ce pourcentage, seulement 50%, dans le meilleur des cas, arrivent à apporter les nutriments aux cellules, c’est-à-dire que, en moyenne, la plante ne profite que de 15%-20% du produit.
b) Biofertilisants, environ 90% du liquide qui est pulvérisé dans les cultures atteint les feuilles (stomates) et 100% finit par être incorporé au métabolisme des cellules.
ii) En termes de coût/ha (prix actualisés en juillet de 2009):
Coût$BIO |
Coût$ |
Ratio/Coût/Chimiques |
|
FOSNUTREN (Prix Moyen Vente en Asie + TVA) |
25 USD/L<>210 Kg DAP |
175, 00USD |
7/1 (+ TVA) |
KADOSTIM (“) |
25 USD/L <>225 Kg N03K |
162,5 USD |
6,5/1 |
HUMIFORTE (“) |
28 USD/ L <>102 Kg Urée |
72,8 USD |
2,6/1 |
HUMIFORTE |
28 USD/L <> 140 Kg 12-12-24 |
119,0 USD |
4,25/1 |

Malgré les avantages des biofertilisants sur les fertilisants chimiques, cela ne signifie pas que ces derniers doivent être substitués à 100%, étant donné qu’il y a beaucoup de facteurs pour chaque cas : la situation du sol, le pourcentage de NPK absorbé par la culture, etc.
Le procédé le plus habituel des agriculteurs qui utilisent avec fréquence ou continuellement, à chaque saison, les biofertilisants, consiste à réduire les fertilisants chimiques jusqu’à 60% dans certaines conditions spéciales ou à les remplacer lorsque leur prix subit une hausse disproportionnée, comme cela a été le cas au cours des années 2008 et 2009.

Oui, ils sont totalement compatibles et peuvent être mélangés avec tous les produits agrochimiques, pesticides et herbicides, en réduisant la dose de ceux-ci de 10 à 12% pour les insecticides, et jusqu’à 50% pour les herbicides, dans certaines conditions.
Lorsqu’on utilise des composés de cuivre utilisés comme fongicides, il est obligatoire de réduire la dose jusqu’à 60%, 70%, et d’appliquer seulement de 30% à 40% de la dose standard du composé de cuivre, en raison de plus grande pénétration de cuivre des acides aminés et leur grande efficacité pour tuer le champignon.
De plus, des doses élevées des composés de cuivre (Oxychlorure, etc.) mélangés avec les biofertilisants d’INAGROSA non seulement tueront le champignon mais elles induiront une phytotoxicité dans la plante et des altérations dans la récolte, comme c’est le cas lorsqu’on en applique de façon répétée dans la vigne au mois d’août : lors d’essais réalisés en France, on s’est aperçu que le vin perdait en qualité.

NON.
Ils peuvent être appliqués (pulvérisés) à l’aide de dispositifs ou d’équipements standard utilisés habituellement par les agriculteurs, tels que :
a) Pulvérisateurs à dos actionnés manuellement, cap. 10L, 15L.
b) Pulvérisateurs à dos à piles.
c) Équipement de pulvérisation équipé de bras de 6, 8, 10 et 12 m de longueur actionné par un tracteur.
d) Unité de pulvérisation spéciale automobile avec contrôle électronique avancé, pour ajuster la position de l’angle des bras, la forme du nuage (jet), l’inclinaison de la structure, etc., les pulvérisateurs de type turbine à 20.000 - 30.000 tr/min et le nuage avec des microgouttes présentent une efficacité maximale dans la pulvérisation des biofertilisants d’INAGROSA.
e) par avion avec des équipements de pulvérisation standard de 500 à 1000 L de mélange de biofertilisant et eau.
f) par hélicoptère, avec des équipements de pulvérisation ULV (Volume Ultra Bas) avec 50, 100 à 250 L d’eau, biofertilisant (1 L/Ha).

Il n’existe sur le marché aucun produit nutritionnel qui utilise la même matière active, étant donné que le processus employé par INAGROSA pour obtenir les acides aminés L (AA) et les oligopeptides à faible poids moléculaire, biologiquement actifs et stables avec manipulation commercial conditionnée, est unique.
En Europe, aux États-Unis et en Australie on peut trouver des biofertilisants commercialisés sous différentes marques par un fabricant européen à qui INAGROSA a concédé une licence de fabrication et de fourniture de la matière active, laquelle est utilisée par ce fabricant pour formuler ses produits.
Il existe sur le marché beaucoup de nutriments organiques végétaux: comme les protéines hydrolysées ou similaires. Voir, sur le site Web d’INAGROSA, le tableau comparatif.
Certains d’entre eux sont assez efficaces, mais seulement en ce qu’ils fournissent l’azote organique aux plantes, qui est obtenu à travers un processus d’hydrolyse acide ou hydrolyse enzymatique. Dans ces processus d’hydrolyse de protéines, on obtient un pourcentage variable et relativement bas d’acides aminés libres, mais pas biologiquement actifs et un pourcentage élevé de peptides à haut poids moléculaire, ce qui fait qu’ils ne peuvent pas entrer dans les stomates.
D’autres produits à protéine hydrolysée, fabriqués en Chine, en Inde, en Espagne et dans certains autres pays, au moyen d’un processus à très bas coût d’hydrolyse acide sur des déchets d’abattoirs et autres, obtiennent un liquide noir, à mauvaise odeur, enregistré en tant que "nutriment qui contient des acides aminés", de faible qualité et de très bas prix de vente et des doses élevées par hectare, avec un fort pourcentage de métaux lourds. L’UE a annoncé que des contrôles stricts allaient être mis en place autour de leur contenu en métaux lourds, et elle a déjà rabaissé plusieurs fois leur contenu maximal autorisé, ce qui s’avère impossible à respecter par beaucoup des fabricants qui commercialisent ces préparations de nutriments végétaux sur plusieurs marchés européens.
Les biofertilisants d’INAGROSA ne contiennent pratiquement pas de métaux lourds, de par la nature du processus suivi pour leur obtention, étant donné que leur valeur moyenne est de quelque 30.000 fois inférieure au maximum autorisé par la législation, en Espagne et dans l’UE.
La production d’acides aminés à travers le processus de fermentation, en employant des souches spécifiques de Brevibacterium, Corinobacterium et d’autres obtenues par l’ingénierie génétique pour augmenter la production des acides aminés, lesquels sont libérés dans le medio de culture, dont ils doivent être extraits en utilisant des techniques complexes qui n’évitent pas la séparation des impuretés et des acides aminés D. Ce processus a une ancienne tradition avec un haut niveau de technologie et de know-how au Japon. Au cours des dernières décennies, plusieurs corporations importantes du Japon produisent de grandes quantités d’acides aminés, destinés principalement à l’alimentation du bétail, en utilisant des micro-organismes génétiquement modifiés (OGM) pour augmenter la production des acides aminés.