Sur les plantes: (1986-1988) Le professeur Huffacker de l’Université de Californie ( UCD ) a testé de l’AMINOL FORTE contenant «FACE», comme une matière active, sur des plantes de blé, utilisant des doses 1000 fois plus grandes que celles recommendées ( 0.1% ), aucun effet toxique ou physiologique nuisible n’a été observé.
Sur les animaux: (1990-1991) Life Science Research Ltd, a testé «FACE» sous le nom de code «ULC-87» sur des souris , des rats et des bergers allemand.

Aucun effet n’a été observé. L’administration orale sur les rats et les bergers allemand, á raison de 2500 mg/Kg/jour et 400 mg/Kg/jour n’a montré aucune trace de toxicité.

(1992) BIOGIR S.A., chez des cobayes albinos (test de Magnesson et Kligman), ALEC-28 (FACE) a été considéré comme hypoallergénique.

Chez le lapin, l'évaluation de la tolérance cutanée n'a montré aucun effet d'irritabilité sur la peau.
Sur l’être humain: (1992) Sous le nom de code ALEC 28 et sous la forme de pommade, FACE a été testé par BIOGIR S.A, á Bordeaux, en application dermathologique. Les tests de tolérance cutanée sur des patients souffrant de pathologies allergiques, FACE ne démontre aucun effet d’instabilité cutanée primaire, ni dans les yeux.
Sur des cellules: (1988-1990) Aucun effet toxicologique n’a été détecté. Au contraire, des effets positifs et significatifs de neurotrophie ont été observés et mesurés, á l’hôpital de Ramon et Cajal. Service de Neuro-physiologie á Madrid en Espagne ainsi qu’á l’Institut National de Santé Carlos III á Madrid en Espagne.
(1992) Contox S.A -. «test neoplasia» en eukaryotic, culture cellulaire (BH-K-21-C13): Aucun effet toxique ou génotoxique n’ont été observés avec l’utilisation de FACE.

CONCLUSION

Les tests toxicologiques sur l’activité biologique «FACE» ont aussi été identifiés par les noms de code «ULC-87», «NOMAR-200», «ALEC-28» qui démontrent :

In Vitro: Aucun dommage, effets toxiques, ni d’effets génotoxiques dans les cellules n’ont été observés.
In Vivo: Les tests réalisés sur les souris, les rats, les chiens, par voie oral, par administration intramusculaire ou par intravéneuse, ont été soumis aux protocoles de règlementation standard au niveau international pour le test des effets toxicologiques ; suite á ces tests, aucun effet néfaste n’a été décelé, ce qui classe la substance parmi celle ayant « un bas voire même un très bas effet toxique.

L’administration par voie orale des doses allant jusqu’á 4000 mg/Kg a montré aucun effet sur les organes (cerveau, le foie, la rate, etc.) et cela n’a causé aucune mort d’animaux. Les déterminatons du DL50, par injection orale et par intravéneuse sur les souris et les rats ont été meilleurs qu’avec 2000 mg/Kg. Le chiffre non réél concernant le DL50 pouvait être déterminé par l’absence de morts parmi les animaux qui a été reporté sous les conditions des tests.